Voici l'histoire de cette fille qui chante très bien: cliquez ici.
Si j'étais l'amie du bon Dieu.
Si je connaissais les prières.
Si j'avais le sang bleu.
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne,
princesse, fée, grand capitaine,
d'un noble régiment.
Si j'avais les pas d'un géant.
Je mettrais du ciel en misère,
Toutes les larmes en rivière,
Et fleurirais des sables où filent même l'espoir
Je sèmerais des utopies, plier serait interdit,
On ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des maîtres, des puissants.
Si j'avais les clés de leurs âmes.
Si je savais prendre les armes,
Au feu d'une armée de titans.
J'allumerais des flammes,
Dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines.
J'inventerais des Éden.
Aux pas de chances, aux pas d'étoiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille,
Et deux mains tendues de brindilles.
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de cœurs ensembles.
Si nos voix s'unissaient,
Quels hivers y résisteraient ?
Un monde fort, une terre âme sœur,
Nous bâtirons dans ces cendres
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Devoirs: Copiez la chanson dans votre cahier personnel. Soulignez tous les verbes et écrivez à quel temps se trouvent-ils. Tu ris si mal, tu ris de vivre Des taches de vin sur ta chemise Qui a deux boutons éclatés sur ton corps qui me repoussait Tu fais l’amour en deux poussées L’amour le manque et la tournée Et pendant que tu t’articules Moi je soupire et toi tu me menaces de partir Parce que je hurle quand tu chantes tes souvenirs Eh bien chéri Prends donc la porte Car que tu sais que plus rien ne m'importe
Mais dis moi adieu demain Mais dis moi adieu en chemin Va voir les autres je n’en pense rien Je t’ai aimé je t’assure que c’est la fin
Crois tu pouvoir enfin me dire Que tu veux bien qu’on reste amis Non c’est gentil ça va comme ça, Des amis, j’en ai plein déjà Je n’aurai donc plus à t’entendre Rentrer la nuit quand j’attends l’aube Qui arrive en poussant les heures Moi je me lève et toi tu me menaces de partir Parce que je hurle quand tu chantes tes souvenirs & bien chéri prends donc la porte Car tu sais que plus rien ne m'importe
Mais dis moi adieu demain Mais dis moi adieu en chemin Va voir les autres je n’en pense rien Je t’ai aimé mais je t’assure que c’est la fin